Photo Marcel Mussen
vendredi 16 mars 21h07
A force d'habitudes nous nous adaptons
à un mode de vie ; répond-il à nos attentes ?
Vivons-nous librement ? Avons-nous
conscience de ce qu'est la liberté ?
Nous découvrons bien souvent que nos
prisons sont internes.
Parce que schématisées, parce
qu'endoctrinées, nos vies nous appartiennent-elles ?
Alors à quoi bon essayer de se défaire
de ces sentiments ou de vouloir les refouler ?
Plus dramatique encore, nous agissons
de telle sorte que notre propre entourage ne sache jamais à qui il a
affaire.
La piste n'était pas la bonne, on
change de route, celle-ci est trop sinueuse.
Ainsi nos parcours dans la vie se
décroisent encore plus vite qu'ils se sont croisés.
Nos amours se défont avant d'être
faites.
Et nos vies passent sans qu'on sache
quand elles ont commencé.
Le tort à qui ? La propagation de la
violence et de la haine est trop forte pour que l'on puisse entendre,
comprendre, que les uns sont plus forts que d'autres.
Ce soir, j'en arrive à me dire que je
ne veux plus voir personne, je veux dormir, ne plus penser.
Ma tête bourdonne, j'ai l'impression
qu'elle va exploser.
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