J'ai
mal, toute cette douleur me consume, jaillit en colère.
Je ne
sais plus, le rire je ne le sens pas, ma douleur m’assiège,
Mon
texte c'est moi, incompréhensible destin.
Qu'on
ne me juge pas, personne ne vit à ma place.
Ne
mesurez pas ma foi, n'essayez pas de déterminer le pourquoi du
comment.
Je
hurle étouffée par la discrétion, endormir la douleur, j'y croyais
encore mais j’échoue sur des rives trop connues,
La
prison encore, de là où je ne l'attendais pas, annoncer à mes
enfants l’incarcération de leur père...
J'entends
les jugements, non mon ex mari, n'était pas dans la délinquance...
Quand
je me suis mariée,
Je n'
ai plus l'envie de lutter, je vais avec la vague, avec le choc.
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